Présupposés : on ne peut pas plaire à tout le monde

Une règle de bienveillance pour vous-même, cela vous intéresse ? Parlons de celle qui suit.

« On ne peut pas plaire à tout le monde » : une leçon essentielle pour s’épanouir

En tant que psychopraticien, je rencontre souvent des personnes en quête d’amour ou d’acceptation universelle, croyant que c’est la clé du bonheur. Cependant, l’une des idées phares de l’école de Palo Alto, que je trouve particulièrement pertinente, est qu’ »on ne peut pas plaire à tout le monde ». Cette notion nous pousse à repenser notre manière de vivre les relations humaines et à comprendre que cette recherche permanente d’approbation est non seulement impossible, mais aussi source de souffrance.

Les chercheurs de l’école de Palo Alto, notamment Paul Watzlawick, montrent que chacun perçoit la réalité à travers ses propres filtres – faits de croyances, d’expériences et d’émotions. Dans ce contexte, il est irréaliste de vouloir satisfaire tout le monde, puisque les attentes sont souvent variées et contradictoires. Nous sommes tous différents, tous uniques à notre manière.

Accepter l’idée qu’il est impossible de plaire à tous est un acte libérateur. Cela permet de se détacher du besoin de validation constante et de se concentrer sur ce qui est réellement en accord avec soi-même. En renonçant à chercher l’approbation universelle, on s’autorise à être pleinement soi-même et à tisser des liens plus authentiques et épanouissants.

Dans ma pratique, j’aide les personnes à intégrer cette vérité dans leur quotidien, à renforcer leur confiance en elles et à vivre de manière plus authentique. Car s’il est utopique de plaire à tout le monde, plaire à soi-même est un pas essentiel vers une vie plus heureuse.

Je vous propose d’en échanger au 06 44 69 44 00, par email ou bien via WhatsApp.

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Présupposés : on ne peut pas plaire à tout le monde

source : illustrations (unsplash).

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